Notre offre Votre énergie renouvelable
clé en main et financée

Le granulé de bois, aussi connu sous le terme anglais de « pellet » est un combustible qui a la forme de petits cylindres de bois 100% naturels. Ils proviennent essentiellement du compactage de produits connexes de scieries tels que la sciure et les copeaux.

La géothermie de surface (appelée aussi géothermie de très basse énergie ) désigne l’utilisation de la chaleur du sous-sol à faible profondeur (moins de 200 mètres) et à faible température (moins de 30 °C), via une pompe à chaleur (PAC) géothermique. Il est possible, soit de pomper l’eau des aquifères avec un système ouvert (l’eau est intégralement réinjectée dans l’aquifère d’origine), soit d’utiliser un système souterrain de circulation en boucle fermée (sonde géothermique ou système géothermique) pour acheminer la chaleur du sous-sol jusqu’à la surface.

Un ou plusieurs forages (sous le bâtiment ou en périphérie de celui-ci) sont nécessaires pour enterrer et cimenter des sondes géothermiques composées d’une boucle en forme de U à l’intérieur de laquelle circule un fluide caloporteur. Ce liquide circule en circuit fermé et permet donc un échange thermique avec le sol sans qu’il entre en contact avec ce dernier. Une sonde peut être enterrée jusqu’à 200 mètres de profondeur afin de capter la chaleur ou le froid. Si plusieurs sondes sont nécessaires, cela s’appelle un champ de sondes. Cette technologie optimise les performances car, passés quelques mètres de profondeur, la température du sol ne varie plus en fonction des saisons

Les types de panneaux solaires thermiques diffèrent selon la nature du fluide caloporteur qui transporte la chaleur : de l’eau ou de l’air. Les capteurs solaires à eau sont utilisés pour le chauffage et/ou pour produire de l’eau chaude sanitaire. Dans les capteurs thermiques à air, l’air circule et s’échauffe au contact des absorbeurs. Il est ensuite ventilé dans les habitats pour le chauffage.

Les capteurs solaires peuvent également se différencier par leur structure :

• les capteurs plans vitrés : le fluide caloporteur, très souvent de l’eau mélangée à un antigel, passe dans un circuit en serpentin placé derrière une vitre ;
• les capteurs à tubes sous vides : le fluide caloporteur circule à l’intérieur d’un double tube sous vide. Le principe est le même que pour les capteurs plans vitrés, l’isolation étant simplement assurée par l’absence de molécules d’air (sous vide).

La plaquette forestière est, avec les bûches, les granulés de bois (ou pellets) et les déchets connexes de scieries, l’une des quatre sources d’approvisionnement des chaudières au bois énergie.

La plaquette forestière est le résultat du broyage par des engins mécanisés (broyeurs à couteaux) des rémanents d’une exploitation forestière ou de bois de faible diamètre ou de faible qualité dont c’est souvent la seule valorisation possible. Certains broyeurs peuvent également fabriquer de la plaquette à partir de souches mais les débouchés de ce type de plaquettes sont plus réduits que ceux de la plaquette classique.

La plaquette forestière se présente sous la forme de petits morceaux de bois d’environ 2 × 2 × 5 cm. Sa teneur en eau (contraire de siccité état de ce qui est sec) varie de 25 à 35 % pour la plaquette destinée aux petites chaudières de particuliers, et de 40 à 55 % pour les grosses chaudières professionnelles. À cause du foisonnement, 1m3 de bois plein représente environ 2,5 à 3 mètres cubes apparents de plaquette (MAP).

Elle présente un rendement énergétique supérieur au bois-bûche dans certaines conditions (chauffage bois-bûche 10-15 % de chauffage utile en cheminée ouverte, plaquettes 75 à 85 % en chaudière moderne) et le rapport vis-à-vis du pétrole est d’environ 2,5 tonnes de plaquettes pour 1 tonne d’équivalent pétrole.

Un premier forage d’alimentation permet le pompage de l’eau souterraine dans la nappe d’un aquifère superficiel vers la surface jusqu’à un échangeur (dit échangeur de barrage) puis vers la pompe à chaleur géothermique. Un second forage de réinjection permet le retour de cette eau dans le même aquifère. Cette eau, dite froide, doit être réinjectée à une distance suffisante du forage d’alimentation afin de ne pas refroidir la ressource puisée et de maintenir ainsi, dans le temps, une température constante. Une nappe présente dans un aquifère superficiel peut alimenter plusieurs logements en fonction du débit de pompage. Cette technologie optimise les performances car, au-delà de quelques mètres de profondeur, la température de l’eau reste stable indépendamment des saisons.

La chaudière est remplacée par une pompe à chaleur. Une pompe à chaleur (PAC) est un équipement qui fonctionne sur le principe de la thermodynamique qui consiste à transférer les calories de l’eau vers le bâtiment. Le fluide qui circule dans la PAC est un fluide frigorigène qui permet d’optimiser le transfert de chaleur entre la source primaire et le milieu à réchauffer ou à refroidir (ballon d’eau chaude, plancher chauffant, radiateur, ventilo convecteur, etc.). Les performances énergétiques de la PAC se traduisent via son coefficient de performance.

Une pompe à chaleur est un système qui utilise de l’énergie thermique provenant de l’air pour chauffer un bâtiment. L’énergie est captée dans l’air extérieur pour chauffer l’eau qui va chauffer l’installation du bâtiment par le réseau d’émetteurs : plancher chauffant, radiateur. Le système comprend une unité extérieure et une unité intérieure, reliées par des liaisons frigorifiques. L’unité extérieure capte les calories de l’air extérieur et le module intérieur restitue la chaleur à l’intérieur du logement.

Le groupe extérieur est composé d’un compresseur, d’un évaporateur et d’un condenseur. Le compresseur comprime le gaz frigorigène, qui se transforme en un gaz chaud. Ce gaz chaud est ensuite détendu dans l’évaporateur, où il absorbe les calories de l’air extérieur. Le gaz froid est ensuite condensé dans le condenseur, où il restitue la chaleur à l’eau du circuit de chauffage. L’eau chaude est ensuite distribuée dans le logement par un réseau de radiateurs ou de planchers chauffants.